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Les billets des Dom-Tom

La cote des billets des Dom-Tom par Maurice KOLSKY : Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion, Saint-pierre et Miquelon, Institut d’émission des départements d’Outre-mer, Institut d’émission d’Outre-mer, Nouvelle Calédonie, Polynésie Française et Nouvelles Hébrides.

LES BILLETS DES D.O.M. – T.O.M. DES ORIGINES À NOS JOURS

GUADELOUPE
GUYANE
MARTINIQUE
RÉUNION
SAINT-PIERRE ET MIQUELON
INSTITUT D’ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D’OUTRE-MER
INSTITUT D’ÉMISSION D’OUTRE-MER
NOUVELLE CALÉDONIE
POLYNÉSIE FRANÇAISE
NOUVELLES HÉBRIDES

Édition 2006. 282 pages.
COLLECTION « HISTOIRE DU PAPIER-MONNAIE FRANÇAIS »
Format extérieur : 21 x 30 cm

80,00

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Les billets des Dom-Tom, l’ensemble des cotes, indices de rareté et illustrations en couleur des émissions de la Réunion, la Guadeloupe, la Martinique, St Pierre et Miquelon, la Guyane et l’Océanie, par Maurice KOLSKY.

LES BILLETS DES D.O.M. – T.O.M. DES ORIGINES À NOS JOURS

Volume 4 (deuxième édition)

GUADELOUPE
GUYANE
MARTINIQUE
RÉUNION
SAINT-PIERRE ET MIQUELON
INSTITUT D’ÉMISSION DES DÉPARTEMENTS D’OUTRE-MER
INSTITUT D’ÉMISSION D’OUTRE-MER
NOUVELLE CALÉDONIE
POLYNÉSIE FRANÇAISE
NOUVELLES HÉBRIDES

Édition 2006. 282 pages.
COLLECTION « HISTOIRE DU PAPIER-MONNAIE FRANÇAIS »
Format extérieur : 21 x 30 cm

Introduction du catalogue les Billets des D.O.M. – T.O.M.

L’Histoire du Papier-Monnaie français couvre une période qui comprend de nombreux évènements et bouleversements, aussi bien en Métropole que dans les départements et territoires d’Outre-Mer. La Seconde Guerre mondiale a vu la fin des privilèges d’émission confiés à des banques privées :
– Banque de la Guadeloupe
– Banque de la Guyane
– Banque de la Réunion
– Banque de la Martinique

Des organismes émetteurs ont ainsi vu le jour entre 1941 et 1945 :
– Caisse Centrale de la France Libre (C.C.F.L.)
– Caisse Centrale de la France d’Outre-Mer (C.C.F.O.M.)

Cette dernière s’est appelée par la suite Caisse Centrale de Coopération Economique (C.C.C.E.), mais n’a jamais émis de billets sous ce titre. Puis « Agence française du Développement » La C.C.F.O.M. a pratiquement conservé le privilège de l’émission dans les territoires de l’Empire français jusqu’à la création de la « Communauté française » (après le référendum de septembre 1958).

Le 7 janvier 1959 furent publiées les ordonnances créant l’Institut d’Émission des Départements d’Outre-Mer (I.E.D.O.M.) en remplacement de la Caisse Centrale de la France d’Outre-Mer. L’I.E.D.O.M. étend sa juridiction dans les départements de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de la Réunion. À Saint-Pierre-et-Miquelon depuis 1973, aux Antilles-Guyane et la Réunion depuis 1975, seule la monnaie métropolitaine a cours légal. L’LED.O.M. continue encore aujourd’hui ses autres activités et est le correspondant de la Banque de France dans ces départements. Les premiers billets émis par l’I.E.D.O.M. sont mis en circulation en 1960. Ils remplacent ceux de la C.C.F.O.M. dont ils reprennent les types, pour la plupart.

La monnaie utilisée dans les départements des Antilles, Guadeloupe, Guyane, Martinique est exprimée en anciens francs, puis en nouveaux francs et enfin en francs. Elle est à parité avec le franc métropolitain.

Pour la Réunion, ce sont les francs CF.A. qui ont cours, avec pour parité : 1 franc CF.A. = 0,02 franc métropolitain, jusqu’en 1975. Depuis ce sont les francs métropolitains qui seuls eurent cours.

En 1945, furent créés deux francs coloniaux :
– le franc C.F.A. : franc des colonies françaises d’Afrique
– le franc C.F.P. : franc des colonies du Pacifique.

Le franc C.F.P. n’a, à ce jour, pas changé de définition. Toutefois, C.F.P. s’est appelé « Communauté Financière du Pacifique » et à partir du 31 décembre 1998 : « Change Franc Pacifique ».

Le franc CF.P. avait à l’époque pour parité 2,40.
Cette parité a successivement été portée à :
4,32 en janvier 1948
5,31 en octobre 1948
5,48 en avril 1949
5,50 en septembre 1949 par suite des diverses dévaluations du franc métropolitain.

Donc le franc C.F.P. qui a eu cours en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française valait 0,055 franc métropolitain et depuis l’introduction de l’euro : 1000 FCFP valent 8,385.

Le franc néo-hébridais valait jusqu’à l’indépendance du Condominium franco-britannique des Nouvelles Hébrides en 1982 : 0,061875 franc métropolitain.

En avril 1967, apparut l’Institut d’Emission d’Outre-Mer (I.E.O.M) qui émet dans les Territoires français d’Outre-Mer T.O.M., c’est-à-dire la Nouvelle-Calédonie (Nouméa), la Polynésie française (Papeete) et pour le Condominium des Nouvelles-Hébrides jusqu’en 1982.

Cet ouvrage consacré aux D.O.M.-T.O.M. est aussi une suite au volume : Les Billets de la Banque de l’Indochine, de MM. Kolsky et Muszynski (2e édition). Toute règle ayant son exception, il n’a pas paru possible de faire suivre dans les Billets de la Banque de l’Indochine, les billets des territoires de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française et du Condominium des Nouvelles-Hébrides, non émis par cette dernière banque et qui se trouvent dans le présent volume.

Il faut noter un cas particulier dans le cadre de l’organisation monétaire des T.O.M. : Mayotte, territoire d’Outre-Mer, est le seul territoire à n’avoir jamais eu de monnaie particulière. Dès sa création, seul le franc métropolitain eut cours.

Le lecteur trouvera dans cet ouvrage une histoire de ces ex-colonies françaises et de toutes les émissions de papier-monnaie, depuis les établissements financiers précurseurs des banques coloniales à nos jours.

Les billets des DOM-TOM, les clefs du catalogue

CLASSEMENT

Nous avons adopté le classement par ordre de valeurs faciales croissantes à l’intérieur de chaque type d’émission et pour chaque Institut (Anciens francs, contre-valeur en nouveaux francs, NF et rétablissement du franc).
Pour chaque billet, il est indiqué :

– le numéro d’ordre dans le catalogue,
– le titre et le type du billet (ce sont ceux adoptés officiellement par l’Institut d’Emission),
– la date de création,
– le format (indiqué en millimètres),
– les détails de l’impression,
– la numérotation,
– les quantités de billets émis ou livrés,
– le nom du ou des artistes, auteurs des billets,
– les signatures,
– les indices de rareté,
– la cote dans la qualité de conservation habituellement trouvée pour ce type de billet
– les quantités de billets restant en circulation à une date donnée.
– les alphabets extrêmes retrouvés.

INDICES DE RARETÉ

Les indices de rareté sont basés d’une part sur le chiffre de tirage, l’ancienneté du billet, les conditions particulières et l’époque de son émission ; d’autre part, sur les informations que nous avons sur chaque billet : quantités réellement mises en circulation, retraits, destructions, les quantités restant en circulation à une date donnée, ainsi que leur présence ou non dans les collections publiques ou privées.

Les indices de rareté utilisés sont : C = commun, R = un peu rare, R1, R2, R3 = de rareté progressive, R4, R5 = maximum 4 exemplaires connus, R6 = unique.

COTES

La cote est donnée en euro et est valable au second semestre 2006. Elle est donnée pour un billet dans la qualité de conservation habituellement trouvée.

TB : Billet usagé, mais en bon état général, comportant plusieurs plis, trous d’épingle, une ou deux coupures peu importantes, une petite tache, mais pas de parties manquantes.
TTB : Billet ayant peu servi, en bon état général, avec trous d’épingle peu nombreux, quelques plis, mais sans tache ni coupures.
SUP : Billet superbe, serait neuf s’il n’avait pas de trace (non rouillées) d’une seule épingle ou un pli léger.
NEUF : Billet neuf, avec le « craquant » d’origine.

La cote a naturellement un rapport avec l’indice de rareté, mais n’est pas basée uniquement sur celui-ci.
Pour un même indice de rareté, la cote indiquée n’est pas forcément identique, pour les diverses raisons suivantes :

1° Un billet ne comportant qu’une seule combinaison de signatures et d’une rareté donnée, aura une cote plus élevée qu’un autre billet de même indice de rareté, mais faisant partie d’un ensemble de plusieurs combinaisons de signatures. Tous les collectionneurs ne recherchent pas les variétés de signatures.
2° Un billet de nécessité portant le même indice de rareté qu’un billet de banque sera moins coté que ce dernier, la demande étant beaucoup plus réduite.
3° Un billet d’une grande valeur artistique sera plus coté qu’un billet d’impression locale de même rareté, mais généralement plus fruste.

Les billets d’Outre-Mer, de par le climat et l’humidité se détériorent rapidement et les billets en très bon état, malgré l’utilisation de papier tropicalisé, sont plus rares qu’en métropole. Les billets actuellement en cours ne sont pas cotés.

Les billets très rares, les billets uniques, les « ESSAIS » et les « PROJETS » qui n’existent, en fait, que dans les archives et collections publiques, sont mentionnés « NON COTÉ ».

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