Lexique timbres

LEXIQUE TIMBRES
Apprendre la philatélie

lexique timbre

lexique timbre

Accusé de réception : Timbre spécial, oblitération ou carte servant à avertir l’expéditeur que son envoi est bien parvenu au destinataire.

Adhésif : Désigne un timbre destiné à être collé sur un produit postal – lettre, carte ou colis – au moyen d’une gomme ou autre substance adhésive et qui diffère d’un procédé d’affranchissement imprimé directement sur une enveloppe ou tout autre type d’entier postal. Par ailleurs, désigne la gomme au moyen de laquelle un timbre est collé sur une lettre.

Aérogramme : Correspondance-avion constituée d’une feuille de papier convenablement pliée et collée, dont les dimensions sous cette forme doivent être celles des cartes postales. Le recto de la feuille est réservé à l’adresse et doit obligatoirement porter la mention «Aérogramme». Il est interdit d’y insérer des feuillets supplémentaires ou un objet quelconque. Créé en l952 par le Congrès de l’UPU de Bruxelles, l’aérogramme bénéficie, en raison de sa légèreté, d’un tarif réduit fixe, quelles que soient les destinations. Des formules avec timbre imprimés sont vendues par la poste.

Affranchissement : Acquittement préalable de la totalité des frais de port, représenté, selon les époques et les cas, par des mentions, des marques spécifiques, des timbres-poste, des empreintes de machines à affranchir ou d’autres valeurs fiduciaires.

Affranchissement composé : Ensemble des timbres de différentes valeurs. Cet affranchissement est dû soit à l’absence d’une valeur unique permettant d’acquitter le port, soit à une volonté délibérée de l’expéditeur. Affranchissement mixte : Composé des timbres émis par des autorités postales différentes. Affranchissement philatélique : Réalisé sous l’influence d’un philatéliste, composé généralement des timbres commémoratifs ou des timbres à surtaxe. Affranchissement de fortune : Réalisé par des moyens anormaux, préconisé ou toléré par l’administration des postes en raison de circonstances exceptionnelles. En cas de pénurie de timbres-poste, l’administration peut admettre que l’expéditeur ou le bureau de poste affranchisse le courrier par des moyens de substitution. Exemples: P.P. en l’absence de timbre-poste, griffe, timbre-poste coupé pour une valeur au prorata de la surface utilisée, en numéraire, utilisation d’un timbre-poste en remplacement d’un timbre préoblitéré.

Affranchissement en numéraire : Réglé en espèces et représenté par l’apposition d’une marque ou d’une mention indiquant que le port a été payé (P.P.), absence de timbre.

Album de timbres : Classeur de timbres contenant des feuilles de papier fort destinées à recevoir des timbres ou des lettres. Il existe des albums à feuilles fixes avec des cases imprimées et des reproductions de quelques timbres types et des albums à feuilles mobiles pour timbres, imprimées à l’avance, où à chaque timbre est réservée une case portant une reproduction de celui-ci (couleur ou noir et blanc) ou un numéro qui est attribué au timbre dans le catalogue qui a servi de base pour confectionner l’album.

Aminci : Ou clair. Diminution de l’épaisseur du papier d’un timbre, provenant généralement d’un décollement imprudent du timbre. Diminue la valeur du timbre.

Annulé : Surcharge enlevant la valeur fiduciaire au timbre, utilisé dans le passé pour les cours d’instructions des postiers.
Ballon monté : Courrier acheminé par ballon monté lors du siège de Paris en 1870. Ces lettres sur papier très fin ou des journaux à format réduit portaient pour la plupart la mention ‘Par ballon monté’.

Bande : Ensemble horizontal ou vertical de plus de deux timbres identiques ou différents. Pour des raisons esthétiques le philatéliste préfère la bande horizontale qui vaut plus que la bande verticale. Bande en gouttière : Bande de timbres-poste également répartis des deux côtés de la marge. On dit aussi bande inter panneaux. Bande pour journaux :
Bande de papier utilisée pour entourer les journaux avant leur expédition. Désigne souvent un entier postal comportant un timbre imprimé.

Bandelette publicitaire : Publicité imprimée sur la bordure d’un timbre-poste. La publicité peut être imprimée en même temps que le timbre, ou ultérieurement par un utilisateur privé.

Bloc : Groupe d’au moins quatre timbres non détachés, identiques ou différents, sur deux rangées.

Bloc-Feuillet : Petit feuillet comportant en général plusieurs timbres-poste identiques ou différents, émis pour une occasion particulière. Les timbres issus des blocs-feuillets ont pouvoir d’affranchissement.

Bord de feuille : Timbre auquel la large marge de la feuille est restée attachée. Plus-value pour les timbres anciens.

Boule de moulins : Transport postal inventé pendant le siège de Paris 1870 pour faire parvenir du courrier dans la capitale, avec pourtant peu de succès. Les ‘boules de moulins’, des cylindres en métal d’environ vingt centimètres de diamètre étaient munis de centaines de lettres de quatre gramme pour être soudé et ensuite jeté dans la Seine. Malheureusement la repêche des ‘boules de moulins’ ne réussissait pas comme l’inventeur se l’était imaginée.

Bureau temporaire : Bureau de poste ouvert pour une durée limitée, destiné à faire face à un trafic momentané résultant de circonstances particulières ou exceptionnelles.

Burelage : Fond de sûreté imprimé constitué d’un réseau de lignes sur lequel on imprime un timbre.

Burelé : Ayant un burelage incorporé dans le dessin, sous la forme d’une couleur imprimée au verso de chaque timbre. Le procédé est conçu pour rendre la contrefaçon plus difficile (50 Francs burelé).

Cachet : Ou oblitération. Empreinte apposée sur un pli ou un timbre à l’aide d’un tampon à main ou d’une machine. Le cachet précise souvent l’origine du bureau de départ (ou certifie l’arrivée) et annule le timbre. Le philatéliste distingue ainsi : – oblitération authentique – empreinte apposée sur un timbre ayant servi pour affranchir un envoi acheminé. L’oblitération peut être manuelle ou mécanique. – oblitération de complaisance – empreinte apposée sur un timbre (ou document) dans un but philatélique ou commercial.

Carnet : Petit feuillet, ou plusieurs petits feuillets de timbres protégés par une couverture cartonnée émis dans un but pratique pour le consommateur.

Carte maximum : Produit philatélique qui consiste en une carte illustrée, un timbre et une oblitération, comportant chacun un dessin semblable mais différent; il doit y avoir la plus grande concordance possible entre ces trois éléments.

Carte postale : Carte illustrée, voyageant sans être insérée dans une enveloppe et profitant ainsi d’un tarif réduit.

Carte-lettre : Carte pliée comportant un volet destiné à la rédaction d’un message et qui, une fois pliée, est cachetée par un adhésif situé autour des bords. Le bord est généralement perforé en vue de faciliter l’ouverture. Carte-poste : Entier postal se présentant sous la forme d’une carte postale sur laquelle un timbre-poste a été imprimé avant la mise en vente au public pour payer les droits de port à l’avance. Carte-réponse : Entier postal se présentant sous la forme d’une carte double; un timbre a été imprimé sur chaque volet avant la mise en vente au public, l’un des deux étant destiné à la réponse.

Catalogue : Nomenclature des timbres émis par un ou plusieurs pays. Le catalogue donne au philatéliste de nombreux renseignements dont la cote du timbre. Les catalogues les plus courante dans le monde sont Michel (Catalogue allemand), Stanley Gibbons (Catalogue anglais), Scott (Catalogue américain), Yvert et Tellier pour les catalogue.

Centrage : Emplacement de l’image du timbre par rapport aux bords. Un timbre bien centré à des marges égales. Un timbre mal centré subira une moins-value.

Centré : On dit d’un timbre-poste perforé qu’il est bien centré lorsque le dessin est placé soigneusement au centre des quatre bords perforés, donnant ainsi quatre marges blanches égales autour du dessin du timbre.

Charnière : Petite bande de papier cristal légèrement adhésive pliée en deux. Accessoire utile pour les timbres oblitérés : ne pas fixer sur les timbres neufs car la trace de la charnière endommage la gomme et diminue ainsi considérablement la valeur du timbre.

Classeur de timbres : Album, qui comporte des cases, le classeur possède des bandes horizontales vierges d’inscriptions dans lesquelles on glisse les timbres dans l’ordre que l’on veut.

Classique : Terme qui caractérise les timbres poste et les lettres du XIXe siècle.

Coin daté : Collectionné généralement en bloc de quatre timbres avec la marge de feuille portant la date d’impression. Ce système de datation remplaça celui des millésimes en 1922.

Colis postaux : Timbres spéciaux émis pour l’affranchissement des colis encombrants en timbres.

Commémoratif : Timbre, souvent illustré, émis pour célébrer ou propager un évènement, ou une personnalité. La série ‘400 ans découverte de l’Amérique’, émis en 1893 aux Etats Unies est considérée comme la première émission commémorative.

Cote : Valeur supposée par les catalogues, qui permet au philatéliste d’évaluer sa collection et de pratiquer l’échange. Cette valeur est souvent fictive, car le prix du timbre est fixé par la vente et l’achat au cours du marché.

Date d’émission : Date à laquelle une administration postale met un ou plusieurs timbres en vente au public, date à partir de laquelle le dit timbre-poste est valable pour l’affranchissement jusqu’à ce qu’il soit démonétisé par l’administration postale.

Défaut : Imperfection visible sur le dessin d’un timbre qui s’est produite lors de la gravure, de la formation du cliché ou au cours du processus d’impression. Un défaut qui se reproduit sur l’émission entière ou une partie de l’émission est appelé «variété constante», un défaut ponctuel est dénommé «variété accidentelle».

Démonétisé : Les timbres gardent en général longtemps leur pouvoir d’affranchissement. Mais pour des raisons politiques, techniques ou autres un timbre peut perdre son pouvoir d’affranchissement, il est alors démonétisé. C’est ce qui a eu lieu à la Libération pour les timbres représentant le Maréchal Pétain. Pratiquement tous les timbres français ont encore cours, mais il faut tenir compte de la parité entre nouveaux et anciens francs pour les valeurs émises avant 1960.

Dentelure : Ou piquage est la perforation permettant la séparation facile des timbres; la perforation des timbres fut effectuée d’abord en Grande Bretagne en 1854 sur des machines conçues par Henry Archer. Le piquage à cheval est une variété résultant d’un décalage lors de l’opération de la dentelure. La dentelure est un chiffre qui indique le nombre de dents tous les 2 centimètres. Une dentelure 13 veut dire que le timbre comporte 13 dents tous les 2 cm. Certains timbres ont des dentelures différentes sur les bords horizontaux et verticaux. La dentelure se mesure avec un odontomètre. Trois systèmes de perforation sont en usage: Dentelure linéaire est faite ligne par ligne provoquant des imperfections aux intersections: absence des dents dans les coins du timbre. Dentelure au peigne est faite ligne par ligne, mais le piquage est fait verticalement et horizontalement en même temps; le résultat en est des imperfections dans deux des quatre coins du timbre. Dentelure à la herse est le piquage le plus moderne, effectué d’un seul coup sur toute la feuille.

Diptyque : Est une paire de timbre dont l’illustration fait l’ensemble des deux timbres.

Double frappe : Ou Re-Entry, terme anglais signifiant la double gravure du cliché d’impression, visible par le décalage léger, du à un glissement non voulu de la molette de transfert.

Double impression : Reproduction des mêmes impressions sur un même papier une deuxième fois quand l’enregistrement de la première impression n’est pas convenablement exécuté. Ce traitement peut être volontaire ou bien accidentel, lorsqu’une feuille est passée deux fois dans la presse par erreur. Parfois, l’une des impressions peut avoir été faite à sec et l’autre avoir été encrée.

Emission abusive : Terme qualifiant une émission d’un timbre dont le but principal n’est pas l’utilisation par le public ou dont la surtaxe est particulièrement élevée. On appelle également «émissions abusives» celles dont les conditions de vente spécifiques ne permettent pas au public de se les procurer à la valeur marquée.

Emission commémorative : Timbres-poste ou entiers postaux émis pour commémorer un événement particulier ou un personnage célèbre ou bien une occasion importante. Généralement mis en circulation pour une courte durée.

Emission commune : Emission simultanée d’un ou plusieurs timbres semblables par deux pays au moins.
Entier : Terme utilisé pour désigner une enveloppe, une carte postale ou un emballage sur lesquels des timbres-poste ont été collés ou imprimés pour acquitter à l’avance les droits. Entier postal : Enveloppe, carte postale, carte-lettre, sur lesquelles le timbre est directement imprimé.

Epreuve : Les épreuves sont tirées à différents stades de l’élaboration du poinçon original pour contrôler la qualité de l’œuvre. Les épreuves de luxe sont des feuillets sur lesquels est imprimé le timbre, parfois en couleur divergeant de l’original. Leur tirage est limité.

Erreurs : Les erreurs sont très recherchées par les philatélistes spécialisés. Le timbre peut être soumis à une erreur de conception, ce sont les erreurs dans le texte ou dans le dessin, ou bien à une erreur de fabrication. Cette dernière pouvant se située seulement sur une partie de l’impression comme suit : Erreur de couleur : le timbre est imprimé dans une autre couleur que prévu, souvent d’une couleur d’un autre timbre de la même série. Erreur de dentelure : le timbre est accidentellement dentelé autrement que prévu. Erreur de surcharge : Surcharge omise ou surcharge sur une autre valeur que prévu, surcharge renversée ou partiellement absente. Erreur d’impression : phase d’impression absente, absence de couleur, légende ou valeur faciale omise. Erreur de
filigrane : timbre imprimé sur papier filigrané autre que prévu, ou sur le papier mal posé, qui provoque les filigranes couchés, renversés ou inversés.

Essais : Les essais d’un timbre sont tirés à différents stades de la fabrication pour réglage de machine et ajustement de couleurs. Normalement les essais sont détruits par l’imprimerie. Les essais parvenant illégalement sur le marché philatélique sont sans valeur et sans intérêt philatélique. Ne pas confondre avec épreuves ou erreurs.

Expert : Tout philatéliste et n’importe quel marchand de timbre peut s’appeler expert; une expertise philatélique, le jugement catégorique concernant l’authenticité ou l’état d’un timbre restera toujours arbitraire, si celle-ci n’est pas effectuée par un expert reconnu.

Exprès : Courrier munis de timbres d’exprès est destiné à être délivré à l’arrivée du bureau de destination sans retard au destinataire.

F.D.C. : (First Day Cover) Lettre de premier jour : enveloppe, parfois illustrée, affranchie avec le timbre portant le cachet du premier jour de son émission. L’oblitération peut être effectuée par un cachet spécial du 1er jour.

Faciale : Est le prix que l’on paie au bureau de poste, cette valeur est inscrite sur le timbre.

Fac-similé : Exemplaire d’un timbre-poste reproduit dans la même couleur que l’original ou dans une couleur similaire et qui n’est pas destiné à des fins postales. Porte généralement l’indication «Fac-similé» au verso.

Faux : Faux pour tromper la poste sont très recherchés par les philatélistes, à condition qu’ils soient sur lettre ou oblitérés correctement. Mais ce sont les Faux pour tromper le collectionneur qui sont dangereux pour la philatélie ! Quelques uns des faussaires philatéliques sont – du à leur génie – devenus célèbres, le plus célèbre en étant Jean de Spérati dont les produits sont devenus de véritables pièces de collections souvent très onéreuses, comme les « Bojarski » dans les billets de collections. Dangereux sont notamment les trucages comme les fausses gommes, souvent appelées avec euphémisme regommage ou plus subtilement ‘dépose de gomme’, ou redentelure.

Feuille : On appelle une feuille l’ensemble des timbres imprimés sur une même feuille de papier, les feuilles les plus courantes se composent de 25, 40, 50 ou 100 timbres. Certains amateurs se sont spécialisés dans la collection de feuilles, voire même pour certains dans la reconstitution a posteriori de feuilles de timbres ayant servi à l’affranchissement de lettres, chaque timbre est alors identifié par ses coordonnées (x,y) dans la feuille.

Filigrane : Est une mesure de sécurité pour éviter les contrefaçons; cette marque se trouve dans la pâte du papier et se voit au regard du timbre par transparence. Le filigrane moins visible se laisse apercevoir en plaçant le recto du timbre sur une surface noire en plastique ou métal et en imprégnant le timbre d’essence. Pour le philatéliste, un timbre de même effigie peut être un timbre totalement différent grâce à son filigrane. La position du filigrane peut paraître (parfois sur la même effigie du timbre) normale, couchée, renversée et inversée.

Filigranoscope : Appareil permettant de mettre en évidence le filigrane d’un timbre-poste. Il existe divers modèles, dont certains utilisent des liquides qui sont plus ou moins dangereux pour les timbres-poste.

Fiscaux-Postaux : Timbres émis pour le besoin de l’administration fiscale admis également au service postal.

Flamme : On dit aussi flamme d’oblitération. Désigne la partie rectangulaire d’une oblitération mécanique, la partie ronde étant le timbre à date. Le nom flamme vient de la première oblitération de ce type qui représentait une flamme (oriflamme).

Fluorescent : Ou Luminescent ou phosphorescent – Substance ajoutée au papier lors de la production ou bandes imprimées sur le timbre délivrant sous une lampe ultraviolette un rayonnement secondaire vif servant au tri automatique du courrier.

Foulage : Léger relief visible au verso d’un timbre résultant de l’impression typographique.

Franc de port : Cachet qui signifie que l’objet postal est dispensé de frais de port souvent par les gouvernements et les autorités postales.

Franchise : Faculté de certains utilisateurs à expédier gratuitement le courrier, ex. courrier adressé à certaines administrations publiques; les timbres de Franchise sont émis pour ce même but, Franchise militaire : gratuité accordée aux militaires en campagne pour l’expédition et la réception de lettres du premier échelon de poids et des cartes postales en nombre illimité. Ce droit est matérialisé d’abord par des indications de l’unité militaire, soit manuscrites, soit produites par une griffe ou un cachet, puis par la mention «Franchise militaire» ou «FM».

Gaufré : Méthode d’impression qui consiste à déformer le papier de façon à mettre le dessin en relief. Gomme : Substance placée au verso du timbre afin de permettre la fixation du timbre humecté sur du papier. La gomme peut être mate ou brillante. Aujourd’hui l’on utilise également de la gomme autocollante. Les faussaires modernes, sont parvenus à perfectionner le regommage de timbre avec gomme endommagée (afin de les vendre plus cher).

Gouttière (ou marge) : Espace laissé entre les feuilles de timbres pour faciliter leur séparation en ensembles distincts ou en feuilles plus petites.

Gravé : Se dit d’un dessin tracé en creux sur une matière dure (métal, pierre, bois) au moyen d’un instrument pointu (burin, ciseau). Désigne à tort uniquement les timbres-poste imprimés en taille-douce : tous les timbres, sauf ceux qui sont imprimés en offset et en lithographie, sont gravés.

Grève : Les timbres de Grève sont émis par des organismes privés lors des périodes de grève de longue durée des services postaux. Dans ce domaine beaucoup de timbres sont purement fantaisistes.

Grille : Oblitération de sécurité sous forme de petits points carrés gaufrés sur le timbre-poste. Comme les fibres du papier se brisent, l’encre du tampon de la poste pénètre dans le papier pour ainsi rendre impossible le nettoyage du timbre en vue de sa réutilisation. La grille fut le premier type d’oblitération utilisé sur les timbres-poste français (1849).

Guerre : Les timbres de Guerre sont émis et utilisés pendant la période transitoire et lors des conflits militaires. Ce sont souvent les timbres du pays envahi et surchargés par le vainqueur.

Guillochis : Ensemble de fines lignes en général courbes d’une ou plusieurs couleurs apposées parfois en marge d’une feuille de timbres en taille-douce.

Imprimerie : Typographie : le motif imprimé est en relief; les parties hautes de la planche impriment le motif sur le papier. Taille-douce : le motif imprimé est en creux; les parties basses de la planche impriment le motif sur le papier. Lithographie : les parties imprimantes et non-imprimantes sont pratiquement dans le même plan de la planche.

Inter panneaux : Partie de feuille ne recevant pas l’impression du timbre, portant parfois des marques ou indications de service, séparant deux panneaux d’une même feuille.

Journaux : Timbres spécifiques destinés à l’affranchissement des journaux, souvent oblitérés de façon spéciale.

Légende : Texte faisant partie d’un timbre-poste, généralement inscrit à sa périphérie. Ce texte peut indiquer le pays d’origine, le nom du personnage ou du site représenté ou toute autre information se rapportant à ce timbre.

Locaux : Timbres utilisés dans une province ou ville seulement pendant des périodes de liaison postale restreinte. Il faut distinguer entre les timbres locaux de nature officielle et privée.

Loupe : Instrument optique important dans la philatélie pour l’examen approfondi du timbre.

Machine à affranchir : Machine laissant, sur une correspondance ou sur une étiquette gommée, une empreinte qui affranchit le courrier sans nécessité d’oblitération. Selon les marques et les époques, la machine imprime une seule valeur d’affranchissement, plusieurs valeurs prédéterminées, ou même toutes les valeurs possibles jusqu’à sa capacité maximale.

Maculé : Se dit d’une impression qui, trop encrée par suite d’un incident technique, dénature le graphisme du timbre. Il peut aussi s’agir des traces laissées au verso d’un timbre-poste lorsque les feuilles ont été empilées alors que l’encre n’était pas sèche (maculature).

Mancoliste : Liste des timbres qui manquent au collectionneur.

Marcophilie : Branche de la philatélie concernant uniquement les marques postales.

Marge : Partie du papier, généralement blanche, qui se trouve entre les perforations et la partie réservée au dessin du timbre-poste. Dans le cas des timbres non perforés, la marge correspond à la moitié de cette zone limite.

Maximaphilie : Collection des cartes maximum.

Millésime : Indication de l’année d’impression sur le timbre ou sur la marge. Les millésimes dans la philatélie française des premières années, collectionnés en paire avec marge interpanneaux, portant le millésime, furent remplacés par les coins-datés.

Non dentelé : Timbre-poste imprimé en feuilles sans perforations ou autres moyens de séparation. Les émissions anciennes de timbres du milieu du XIXe siècle étaient presque toutes dépourvues de perforations, de sorte qu’il fallait utiliser des ciseaux pour les séparer.

Non émis : Timbre-poste dont la création a été décidée, dont l’effigie, la valeur faciale et les couleurs ont été sélectionnées, et qui ont fait l’objet d’un commencement de fabrication, sans toutefois être livrées au public par suite d’une décision de l’administration des postes.

Nuancier : Carte de teintes concernant les couleurs généralement utilisées dans les timbres. Souvent édités par les imprimeurs et les négociants en timbres-poste et qui permet de vérifier la couleur d’un timbre et les variations de couleurs dans une même émission.
Oblitération : Voir aussi Cachet. Marque ou empreinte d’oblitération de tout type appliquée sur un timbre-poste pour signifier l’expédition ou la réception du courrier et pour empêcher toute nouvelle utilisation du timbre-poste. L’oblitération peut être faite à la main par l’application d’un tampon comme elle peut être faite à l’aide d’une machine. Parfois, si le timbre n’a pas été oblitéré au départ, il peut être annulé au stylo à bille. L’oblitération mécanique moderne comporte deux éléments : la flamme et le timbre à date. Oblitération manuscrite : Oblitération d’un timbre-poste à la main, que ce soit au stylo, à l’encre ou à l’aide d’un feutre ou d’un stylo à bille. L’oblitération se fait par une ou plusieurs lignes droites ou par des paraphes.

Odontomètre : Petit appareil servant à mesurer le nombre de trous entre les dentelures d’un timbre, le chiffre mesuré correspond au nombre de perforations contenues dans 2 centimètres.

Offset : Procédé d’impression sans relief, apparenté à la lithographie. Dans le domaine de la philatélie, il apparaît en 1986 avec les timbres de service du Conseil de l’Europe

Paire : Deux timbres-poste joints l’un à l’autre, verticalement ou horizontalement, perforés ou non. Paire en gouttière : Paire de timbres placés sur l’un des deux côtés de la marge.

Papier : Les timbres sont imprimés, suivant époque ou suivant besoin, sur différents supports; le philatéliste doit prendre en considération les différentes sortes de papiers, car parfois un papier spécial, utilisé pour une petite partie du tirage d’un timbre-poste, peut augmenter énormément la valeur du timbre. De plus, la connaissance des particularités des papiers différents permet au philatéliste-expert de discerner le vrai du faux ou bien de détecter réparations et truquages.

Papier cigarette : papier très mince et plus ou moins opaque Papier
coloré : la surface d’un timbre (souvent le recto uniquement) est uniformément coloré Papier côtelé : la surface d’un timbre présente une structure creusée et uniforme, obtenu par passage entre des rouleaux presseurs.

Percé en ligne : Perforations faites par une tête perceuse droite, par opposition au perçage en peigne, par exemple. Percé en peigne : Perforations disposées en forme de peigne, par opposition au perçage en ligne.

Perforation : Ne pas confondre avec dentelure. La perforation officielle transforme un timbre d’usage courant en timbre spécifique, tandis que la perforation privée est une mesure de sécurité effectuée par de grandes entreprises pour contrôler l’usage de leur affranchissement. Ces timbres perforés de nature privée sont collectionnés par des spécialistes mais généralement la perforation baisse remarquablement la valeur du timbre.

Philatélie : Connaissance des timbres de collection, art de les collectionner.

Phosphore : Substance phosphorescente appliquée au papier ou à l’encre d’impression et qui émet un rayonnement ultraviolet ou une autre radiation électromagnétique. Très important dans l’utilisation des machines électroniques modernes de reconnaissance et de tri des lettres pour localiser le timbre et l’oblitérer. Peut être aussi appliqué en motif au timbre-poste (ex. barres en phosphore).

Photogravure : Procédé utilisé pour l’impression des timbres, dans lequel le négatif est réalisé par reproduction photographique du dessin à autant d’emplacements que la feuille comporte de timbres. On utilise des plaques en cuivre sur lesquelles le dessin est gravé. Il faut une plaque différente pour chaque couleur du timbre-poste, ce qui en fait un procédé plus onéreux que la lithographie.

Pince : Instrument indispensable pour le philatéliste permettant la manipulation du timbre avec soins sans les endommager, les salir ou les tacher de graisse. L’extrémité des branches doit être mince afin de s’insérer facilement sous les timbres sans détériorer les bords ou la dentelure. Elles sont habituellement en acier inoxydable, nickelé ou chromé.

Planche : Unité d’impression employée en typographie à plat. Par extension, feuille de timbres.

Pli accordéon : Accident lors de l’impression de timbres: le papier se replie sur lui-même lors de l’impression, laissant une partie non imprimée lorsque le pli est ouvert.

Poinçon : Pièce de métal ou de bois portant la gravure d’un timbre. Le poinçon peut être multiplié de diverses façons afin de constituer l’unité d’impression.

Poste aérienne : Désigne le transport du courrier par avion, donc un délai de livraison plus rapide, pour lequel l’expéditeur peut être appelé à acquitter des droits d’affranchissement plus élevés. Un timbre spécial peut être prévu à cette fin.

Premier jour : Oblitération spéciale apposée sur un timbre lors de sa première mise en vente, en général 48 heures avant sa vente normale. Dans la philatélie moderne c’est pratiquement toujours un cachet temporaire illustré.

Préoblitérés : Ces timbres sont oblitérés d’avance pour n’être généralement vendus qu’en grande quantité à des gros utilisateurs pour des publicités diffusées en nombre. Ce sont soit des timbres ordinaires qui reçoivent à l’imprimerie la surcharge de la pré oblitération, soit des timbres spécifiques, n’existant pas en poste ordinaire.

Raccords : Timbres imprimés sur rotatives sur des raccords bord à bord entre des rouleaux de papier d’impression.

Recommandé : Les envois recommandés sont particulièrement tracés et surveillés tout au long de leur trajet. Le destinataire doit certifier la réception de l’envoi.

Re-Entry : Timbre présentant des traces d’un report mal effacé doublant certaines parties de l’image obtenue par un nouveau report.

Recto-Verso : Un timbre peut montrer le dessin recto et au verso, mais inversé. Ceci provient de l’empilage des feuilles imprimées dont l’encre n’est pas sèche. L’impression recto-verso se passe dans l’impression lorsque la presse tourne un moment à vide et l’image encrée est portée sur le cylindre de pression qui imprime l’image sur quelques feuilles suivantes à l’envers. Une feuille peut passez – plus rarement – deux fois dans la presse, une fois recto et une fois verso, de telle sorte que l’image est imprimée deux fois dans le bon sens.

Réémission : Réintroduction sur le marché d’un timbre-poste ayant une représentation graphique donnée, dont la vente avait été auparavant arrêtée ou interrompue. Il peut être d’une couleur ou nuance différente, ou bien sa valeur peut avoir été modifiée.

Regommé : Le regommage ou plus subtilement appelé la ‘repose de gomme’ décrit un timbre-poste dont la gomme a été remplacée ou auquel on a rajouté de la gomme pour améliorer son aspect. Le but étant frauduleux, cette pratique est désapprouvée par les négociants de bonne réputation. (Le regommage est généralement utilisé dans le but frauduleux de faire disparaître une trace de charnière.) Réimpression : Impression supplémentaire d’une émission en cours avec les mêmes couleurs et les mêmes détails. Certaines autorités émettrices marquent ces émissions d’un symbole particulier.

Rentrée : Indique que la plaque a été imprimée une deuxième fois. Lorsque la nouvelle impression est décalée par rapport à l’original, on peut voir sur le timbre-poste un épaississement ou un doublement de l’impression.

Réparé : Désigne soit la remise en état d’une plaque d’impression endommagée, soit l’ajout de papier ou de gomme sur un timbre-poste ou une enveloppe abîmée pour en améliorer l’aspect. Un timbre-poste ou une enveloppe réparée subisse une forte décote.

Repère : Marque imprimée généralement sur les bords de feuille et destinée à permettre soit une seconde impression en faisant coïncider les repères des deux impressions, soit de denteler.

Repiquage : Opération frauduleuse consistant à refaire partiellement ou totalement la dentelure d’un timbre originellement non dentelé.

Replaquage : Restauration d’un timbre-poste ayant subi un accident au verso (aminci). Cette réparation concerne toute la surface du timbre-poste considéré. Elle peut également permettre de remarger un timbre entamé.

Retouche : Est une modification ou réparation effectuée sur un ou plusieurs clichés de la planche d’impression afin de remédier à une usure. Cette restauration n’atteignant quasiment jamais l’état exact de l’original provoque des variétés qui sont recherchées par le spécialiste qui cherche souvent à reconstituer les planches entières (planchage) ou la chronologie des tirages d’un timbre donné. Rétrécissement : La plupart des papiers rétrécissent de façon inégale en séchant, ce qui fait que la dimension des timbres issus d’une même impression peut varier.

Rotative : Type de presse dont au moins un des éléments est constitué par un cylindre. En règle générale, ce mot concerne les presses dont l’unité d’impression est cylindrique. Il existe des rotatives en typographie, en taille-douce, en héliogravure et en offset. L’administration des postes a utilisé l’impression rotative la première fois en 1908 pour les mandats et en 1922 pour les timbres.

Rouleaux : Terme utilisé pour décrire l’emballage de timbres auto-adhésifs, en bandes insérées dans des boîtes ou bien dans des distributeurs automatiques.

Roulette : Ce genre de timbre est généralement délivré par les distributeurs, souvent automatiquement. La bande des timbres comportant plusieurs centaines, parfois des milliers d’unités sont embobinés sur une sorte de roulette. Ces timbres ne sont pas toujours dentelés sur les quatre cotés. Afin de pouvoir vérifier aisément le stock de la machine, tous les cinquième ou dixième timbres porte généralement un numéro au verso.

Service : Timbres réservés aux besoins des grandes administrations.

Signature : Indication du nom du graveur, du dessinateur dans le dessin du timbre. Les signatures au verso du timbre par contre proviennent soit d’un propriétaire du timbre pour moyen de sécurité soit d’un expert philatélique. La signature de l’expert est un petit cachet apposé au verso, certifiant l’authenticité du timbre et qui engage la responsabilité de l’expert.

Spécimen : En vertu des Règlements de l’Union postale universelle, tout Pays-membre est tenu de distribuer un exemplaire de chaque timbre-poste émis à tous les autres Pays-membres par l’intermédiaire du Bureau international. Cette surcharge qui démonétise le timbre est, effectuée pour diffuser une émission dans un but publicitaire ou d’échantillon.

Surcharge : Est une mention ajoutée sur un timbre imprimé pour changer la valeur ou l’affectation; elle peut être effectuée dans une presse ou, plus rarement, manuellement.

Surtaxe : Est la valeur supplémentaire à celle de l’affranchissement. Elle est généralement versée à des œuvres d’intérêt public et ne représente en quelque sorte qu’un impôt volontaire soutiré aux philatélistes. Ces timbres servent rarement à l’affranchissement et sont essentiellement achetés par les collectionneurs. En France, son produit est versé à la Croix-Rouge.

Taille-douce : Technique issue de la gravure au burin. Une plaque d’acier reçoit par procédé photographique l’image inversée du timbre, le graveur au travers d’une loupe de forte puissance (binoculaire en général) entame l’acier avec un burin en suivant avec une grande précision les traits du dessin, il joue sur la pression de son burin pour affiner plus ou moins ses traits (pleins et déliés). Cette matrice en creux servira par pression sur une plaque d’acier moins dur à obtenir un positif (dessin en relief) qui lui-même par traitement mécanique et chimique permettra de multiplier en creux les nombreuses images du même timbre sur un cylindre d’impression. Cette technique est très prisée des amateurs de beaux timbres à la fois par la beauté des traits obtenus où l’encre est légèrement en relief et par la beauté de la technique utilisée par l’artiste graveur.

Tampon : Toute marque appliquée à un timbre-poste ou à un produit postal pour indiquer la date et le lieu de l’application et prévenir toute réutilisation à des fins postales. Le tampon n’est pas nécessairement appliqué sur le timbre ou sur son impression.

Tête-Bêche : Deux timbres se tenant, dont l’un est à l’envers et l’autre à l’endroit. Horizontale ou verticale.

Timbre à date : Tampon rond apposé à la main ou à la machine, permettant soit d’oblitérer un timbre avec la date et le lieu le plus proche de celui du dépôt, soit d’indiquer la date et lieu d’arrivée d’une lettre ou d’un colis dans un bureau de poste. Le timbre à date peut comporter une ou 2 étoiles et d’autres mentions permettant d’identifier la catégorie du courrier. Dans cet exemple la mention PP veut dire Port Payé, il s’agit généralement de courriers publicitaires ou d’imprimés (Publipostage), payés directement au bureau de dépôt, c’est la raison pour laquelle il n’y a pas de timbre (voir préoblitéré). Sur une lettre si le timbre à date comporte une étoile cela signifie que la lettre à été déposée après l’HLD (heure limite de dépôt).

Timbre-poste : Vignette émise par une administration postale et ayant pouvoir d’affranchir le courrier. Le premier timbre-poste du monde fut émis en Angleterre le 6 mai 1840 (One penny black), le premier timbre français fut émis le 1er janvier 1849 (Cérès 20 c noir).
Timbres de bienfaisance : Timbres dont l’objet principal est de nature postale, mais dont la valeur est majorée au profit d’œuvres de bienfaisance. L’acquéreur paie donc une somme supplémentaire qui vient s’ajouter au tarif postal normal.

Timbres coupé : Fragment de timbre sur lettres entières, utilisé pour la moitié ou le quart de la valeur d’affranchissement du timbre complet.
Timbres d’usage courant : Il s’agit de timbres mis en vente pour une durée indéterminée et dont l’impression se fait au fur et à mesure des besoins.

Timbre de service : Timbres avec lesquels sont affranchies les correspondances des fonctionnaires admises en franchise (ex. Unesco, Conseil de l’Europe).

Timbre Taxe : Vignette ou timbre apposé par les services postaux en cas d’insuffisance d’affranchissement. Son montant est acquitté par le destinataire de l’envoi.

Tirage : En philatélie, le mot désigne la quantité de timbres qui ont été imprimés. La date de tirage correspond donc à celle de l’impression des timbres.

Triptyque : Bande de trois timbres présentant chacun un dessin différent, mais qui, ensemble, forment une seule illustration.

Truqué : Un timbre truqué est manipulé par un faussaire pour augmenter sa valeur. Il existe plusieurs genres de truquage, truquage de couleur – transforme un timbre chimiquement en une couleur qui vaut plus cher et le truquage par grattage – transforme un timbre oblitéré en un timbre neuf. Un timbre de faible valeur peut être également transformé en un timbre rare en grattant une partie de l’image pour la redessiner.

Type : Terme utilisé par les collectionneurs pour désigner des timbres différents, la même série ou le même groupe.

Valeur faciale : Valeur monétaire ou nominale inscrite sur le timbre et valable pour l’affranchissement à concurrence du montant indiqué.

Validité : Période pendant laquelle le timbre-poste a pouvoir d’affranchissement. Quasiment la totalité des timbres de France depuis l’origine ont cours (sauf période Pétain).

Variété : À ne pas confondre avec erreurs. Appellation des timbres qui ne sont pas conformes au modèle défini. Il peut s’agir d’accidents d’impression, de dentelure, ou d’encrage.

Vente à prix net : Vente sur catalogue avec mise à prix fixe, les objets ainsi proposés sont vendus au premier acheteur; les ventes à prix nets se pratiquent très couramment en philatélie ainsi qu’en numismatique. Vente sur offres : Vente par correspondance, sur catalogue, hors de la présence du public, au plus fort enchérisseur et sans surenchère sur enchère connue. Ce type de vente est très répandu en philatélie.

Vignette de poste aérienne : Vignette imprimée, qui ressemble à un timbre, utilisée pour signifier que l’expéditeur a payé le tarif applicable à la poste aérienne et que l’objet postal doit donc être transporté par voie aérienne, et non par voie de surface.

Vignette : Terme souvent utilisé pour désigner des morceaux de papier, avec ou sans perforations, qui ressemblent à des timbres, mais qui n’en sont pas. Peut aussi désigner la partie d’une feuille de timbres réservée à la promotion ou à la publicité qui n’a aucune valeur postale ni monétaire, mais qui forme une partie de la feuille des timbres. Vignettes publicitaires : Ou bande publicitaire. Etiquettes ressemblant à des timbres, attachées par leur dentelure à un timbre-poste et sur laquelle une publicité est imprimée.

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