Album capsules champagne
Laure : Avec plaisir, la première fois que l’on m’a dit que j’étais placomusophile, je me souviens c’était un matin où je participais à une bourse multi-collections et lorsque je suis arrivée devant un stand où il y avait parmi divers objets de collection, 3 grosses boites remplies de ce que j’appelais moi à l’époque «des plaques de champagne », le brocanteur m’a reçu avec un « bienvenu aux placomusophiles, installez vous là, dans ce coin » ! Un minuscule bout de table, auquel j’ai renoncé pour m’installer à même le sol, j’y suis resté toute l’après midi …
Laure : Depuis toute petite je collectionne les capsules de champagne. Chaque fois que mes parents recevaient des invités, je savais que le lendemain matin à coté de mon bol de lait j’allais avoir la fameuse petite plaque métallique de la bouteille de champagne bue la veille. Je les gardais dans une boîte soigneusement. A l’époque, il n’existait pas encore tous les matériels de rangements que l’on peut trouver aujourd’hui, alors je faisais avec les moyens du bord.
Laure : Alors justement avec le temps qui passe, c’est de plus en plus dur d’augmenter ma collection. Je garde bien évidemment toutes les plaques des bouteilles de champagne que je bois et cela m’oblige d’ailleurs à changer régulièrement de producteur afin de diversifier mes capsules. Mes amis sont tous au courant et me les récupèrent dès qu’ils le peuvent, j’ai surtout un ami qui travaille dans un restaurant et qui garde toutes les plaques qu’il peut sauver de la poubelle. Même si ce sont souvent les mêmes capsules qui reviennent, c’est bien pratique pour les échanges entre collectionneurs. Il m’est arrivé également d’en acheter en brocante ou sur les bourses mais c’est plutôt rare, je préfère faire des échanges et par la même occasion faire des rencontres (Rires).
Laure : Il existe un catalogue de cotation des capsules de champagne édité par Monsieur Lambert, lui-même collectionneur je crois. Moi, je ne me sers pas de son livre pour acheter car je ne consacre pas un gros budget comme pourraient le faire d’autres collectionneurs, mais il me permet de connaitre toutes les capsules courantes qui cotent moins de 3 euros et que je peux échanger sans peur. En fait, je me sers de ce catalogue surtout pour pointer les capsules de champagne que je possède déjà, afin d’éviter les doublons et c’est pourquoi, à chaque nouvelle édition, j’y passe des heures pour refaire tous les pointages !
Laure : Disons que je n’achète pas des capsules à 100€ car il y en a qui valent très cher, la plus chère que j’ai achetée était à 20€, elle est peinte à la main et vraiment magnifique. La plus chère que je possède c’est une Roederer que j’ai trouvé dans ma boite d’enfant et qui cote 200€ c’était l’époque où elles avaient de grandes encoches car on n’utilisait pas encore le muselet pour retenir la plaque sur la bouteille.
Laure : Oui, bien sûr ! Elle était différente des autres donc j’avais bien imaginé qu’elle était plus rare, mais de toute façon je les ai toutes gardées. En revanche maintenant elles sont bien rangées.
Laure : C’est compliqué ! J’utilise différents moyens. Mes préférées sont dans une vitrine que j’ai accrochée sur le mur de ma cuisine. J’en ai d’autres dans des plateaux-tiroirs sous ma table base en verre, cela me fait une décoration très originale. Mais bien sur, ma collection de capsules avec presque 3200 exemplaires différents est rangée dans l’album capsules champagne de chez Leuchtturm, je possède 12 albums qui sont rangés les uns à coté des autres sur mon étagère dans le salon.
Laure : Par ordre alphabétique des noms de maison de Champagne comme le fait le catalogue Lambert.
Laure : Oui, je les aime toutes. Évidemment, je préfère les plaques de champagne et particulièrement celles qui sont illustrées avec beaucoup de couleurs, je collectionne aussi les capsules génériques utilisées par les petits producteurs mais je garde aussi de côté les plaques de vin mousseux et les capsules de bière, même si je ne les collectionne pas. Celles-ci je les entasse dans une boîte.
Laure : Oui, cela me plait, en plus maintenant mes enfants s’y intéressent aussi, cela nous permet de partager du temps ensemble, il n’y a que mon mari qui ne s’est pas passionné comme nous, lui il préfère participer à la consommation du contenu de la bouteille [N.D.L.R. avec modération, bien sûr]. Mon objectif ? (temps de réflexion) continuer à me faire plaisir avec ce loisir sans fin !
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